Rions un peu
Dernièrement, nous repensions aux symboles utilisés sur les médias sociaux pour exprimer un avis. Ce fut l’occasion pour nous de tester notre sens de l’autodérision : regardez notre vision des choses en 2006 !
Un bouton, et puis c’est tout
Petit à petit, les choses se sont simplifiées.
C’est vers 2008 qu’a émergé un consensus autour du vote négatif, considéré comme peu pratique. Puis, en 2009, Facebook a enterré la question : un seul bouton, et puis c’est tout.
L’option Poke de Facebook a discrètement perdu de son importance, avant d’être masquée en 2011.
Établir le lien entre participation sur les réseaux sociaux et service client
Nul n’échappe au décalage qui s’installe entre une innovation et son utilisation concrète.
De ce fait, nous recherchons toujours l’équilibre délicat entre le fait d’aider nos clients à évoluer, écouter les défis qu’ils doivent relever dans leur métier, et bien comprendre ce qu’ils font aujourd’hui.
C’est cette approche qui nous a permis d’être le premier éditeur à établir le lien entre engagement sur les plateformes sociales et service client 1-to-1.
C’est aussi à nos clients que nous devons l’évolution de Dimelo.
Le chemin de la maturité
Les choses se décantent enfin pour une grande partie des pratiques métier de la relation client sur les réseaux sociaux.
Nous croyons que beaucoup de marques peuvent structurer la relation client sur les réseaux sociaux afin de créer davantage de valeur pour le client tout en permettant d’améliorer l’efficacité opérationnelle.
Nous nous préparons donc à accélérer le flux des échanges de connaissances entre Dimelo et sa propre communauté.
Et là, on dit bravo !
Publié le 16 Oct, 2014, mis à jour le 22 Nov, 2023